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Gabon / L’Ong Malachie et l’Ong Finance SOLID’ ont pris part à l’atelier de lancement et de planification des activités du PROJET READINESS

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Lundi 06 octobre 2025, dans un Hôtel de la place, la représentante éminente des Organisations non gouvernementales MALACHIE et Finance SOLID’, l’Experte Gwenaëlle Simbi épse Marat-Abyla, a pris une part active à l’atelier de lancement et de planification des activités du projet intitulé « Renforcement des cadres et processus stratégiques pour faciliter l’accès du Gabon au financement climatique (Projet Readiness) ». Une approche financière novatrice mise en œuvre par la FAO et le Gouvernement gabonais.

l’Experte Gwenaëlle Simbi épse Marat-Abyla, (au centre) représentante des ONGs Malachie et Finance SOLID’, intervenant au cours de l’atelier.

En effet, le Projet READINESS, est une initiative porteuse d’espoir pour le développement durable. Il a vu le jour grâce à un accord crucial, signé entre le Gouvernement de la République Gabonaise, et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), l’une des institutions internationales les plus engagées pour le progrès et le développement durable.

Une vue des participants, parmi lesquels, Madame Gwenaëlle Simbi épse Marat-Abyla, lors du déroulement des travaux en atelier.

La finance climatique est un concept crucial et vital dans la lutte contre les changements climatiques dévastateurs qui menacent notre planète. Elle englobe un vaste ensemble de ressources financières considérables, qu’elles soient d’origine publique ou privée, qui sont habilement et stratégiquement mobilisées dans le but stratégique et urgent de compenser les effets néfastes du changement climatique et de permettre une adaptation efficace à ce dernier.

Une vue du Diapo de présentation des grandes lignes du projet READINESS

Ce financement précieux et indispensable soutient essentiellement deux grandes catégories d’initiatives : les projets d’atténuation et ceux d’adaptation, contribuant ainsi de manière significative à la préservation de l’environnement et à la survie des écosystèmes. À savoir :

1. L’atténuation : Il s’agit là d’initiatives novatrices et ambitieuses ainsi que de projets qui ont pour but principal de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre nuisibles. Par exemple, des projets innovants et avant-gardistes dans le domaine des énergies renouvelables, des technologies d’efficacité énergétique de pointe, la reforestation massive qui renforce notre couverture forestière ou encore des transports qui utilisent des énergies propres et durables.

2. L’adaptation : Ces actions cruciales et planifiées visent à renforcer la capacité des pays et des communautés locales à affronter courageusement et efficacement les impacts variés et imprévisibles du changement climatique. Par exemple, la gestion durable de l’eau et des ressources précieuses, la promotion d’une agriculture résiliente face aux caprices climatiques, et le développement d’infrastructures solides et ingénieuses capables de résister à des inondations de plus en plus fréquentes et dévastatrices.

En guise d’illustration, au Gabon, qui est un véritable sanctuaire forestier, un joyau vert, avec 88 % de son territoire couvert de forêts riches en biodiversité, la finance climatique représente une opportunité inestimable pour financer largement des projets essentiels et innovants tels que la gestion durable des ressources forestières, la mise en place et le développement de marchés efficaces de crédits carbone, ainsi que l’installation d’infrastructures vertes novatrices et technologiquement avancées, capables d’atténuer les effets destructeurs des inondations côtières.

Récit/Peuple Infos

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