Gabon / Fake-news de Jeune Afrique : le démenti de l’Avocat de Joanis Kongo, l’ancien aide-camp de Laccruche Alihanga.
Le Maître Cédric MAGUISSE, très surpris par la désinformation malveillante entenue et diffusée par le journal Jeune Afrique dans sa parution du 22 mars 2022, sur les propos qu’aurait tenu son client, Jaonis KONGO, l’ex aide camp de Laccruche Alihanga l’ancien DCPR, d’Ali Bongo Ondimba, à savoir : «aux magistrats qui l’ont auditionné puisqu’il est lui-même accusé de corruption, Joanis KONGO décrit un vaste système clientéliste bâti au profit de l’ex-directeur de cabinet du Président Ali Bongo Ondimba». l’Avocat dément avec véhémence ces écrits imaginaires et infondés, publiés par ce média très souvent pointé du doigt pour des faits similaires. Lire Ci-dessous, le démenti diffusé à cet effet.
Joanis Kongo, l’ancien aide-camp de Laccruche Alihanga, dans l’exercice de sa fonction…
COMMUNIQUE :
Dans sa parution du 22 mars 2022, le journal « Jeune Afrique » a porté à la connaissance de ses lecteurs, des supposés aveux faits par Monsieur Jaonis KONGO, ancien aide de camp de Monsieur Brice LACCRUCHE ALIHANGA.
Dans ledit article, il est indiqué que :
« aux magistrats qui l’ont auditionné puisqu’il est lui-même accusé de corruption, Joanis KONGO décrit un vaste système clientéliste bâti au profit de l’ex-directeur de cabinet du Président Ali Bongo Ondimba».
Cette information a été relayée par le journal en ligne «MEDIAS 241» qui fait état des aveux accablants de sieur KONGO et des biens amassés au travers de bons et loyaux services d’une valeur de plus de Deux Cent (200) Millions FCFA.
Sur instructions expresses Monsieur KONGO dont je suis le conseil, je viens par le présent communiqué de presse fustiger avec la plus grande énergie de tels propos mensongers qui mettent en disgrâce le noble métier de journaliste et qui, malheureusement, n’honorent pas la signature de leur auteur.
Mon client constate pour le regretter que cette perversion de la réalité s’inscrit dans un triste élan complotiste visant à le jeter à la vindicte populaire à quelques jours de l’intervention du délibéré de son affaire ce qui serait de nature à influer sur la décision à intervenir.
En dépit de cette cabale, mon client réitère sa confiance en la Justice Gabonaise dont il est persuadé qu’elle est à équidistance de la Politique.
Pour Monsieur Jaonis KONGO,
Maître Cédric MAGUISSET
