Olam Gabon / Bitam : L’essor de L’hévéaculture made in Olam Rubber Gabon.
- A l’instar de la production industrielle des tubercules, les palmiers et les bananes, Olam Gabon s’est fortement investi dans L’hévéaculture au sein de la province septentrionale du pays. Force a été donnée de constater la poussée foisonnante de l’hévéa dans les plantations entreprises par la structure. Une aubaine pour l’économie gabonaise et, pour les jeunes nationaux qui aspirent à l’apprentissage des techniques de planting d’hévéa.
Depuis le lancement officiel de cette initiative, le 05 février 2014, les septiques n’y ont pas cru, compte tenu des pesanteurs de démarrage qu’a traversé Olam Rubber Gabon quant à l’aménagement des espaces et la formation adéquate des ressources humaines locales. 4 ans après, l’espoir devient perceptible à l’horizon de la première poussée d’arbustes d’évéa. Planté sous un sol riche et fécond de Bitam, le résultat de la germination observé sur le terrain rassure une récolte grandiose à la mesure des attentes de l’opérateur Singapourien.
De plus, l’abondante saignée de la sève fraîche du caoutchouc blanchâtre, explorée par Olam Rubber dans ses plantations d’hévéa promet au pays, une économie à forte valeur ajoutée issue de L’hévéaculture. Selon le Directeur régional, Subramaniam Perumal, à la longue, le développement de ce secteur d’activités au Gabon, permettra de contribuer considérablement à la relance de notre économie.
Pour sûr, cet agro-business constitue également une opportunité de pointe, à même d’offrir aux jeunes gabonais, non seulement de l’emploi, mais aussi, de l’apprentissage des techniques de planting d’hévéa et d’exploitation du caoutchouc brut. Même si, à la base, le but visé par l’opérateur s’articule au tour de la production à grande échelle, l’exportation et la vente au niveau international, il est clair que la part de dividendes qui revient à l’Etat gabonais, sera consacrée au développement socio-économique de la nation.
Par ailleurs, l’opérationnalité de cette activité agricole en terre gabonaise, emmène l’investisseur à contribuer, voire améliorer les conditions de vie des populations vivant aux environs de leur champ d’action. Une approche sociale et citoyenne qui, de toute évidence, a poussé Olam Rubber à réaliser en direction des nécessiteux :
16 logements pour enseignants, 3 écoles réhabilitées, 2 écoles dans les villages Assok et Akoulzock, 4 dispensaires dont 1 réhabilité, 4 logements pour infirmiers, dont 1 réhabilité, 16 terrains de football, 40 pompes hydrauliques, 729 panneaux solaires, 1 don de médicaments, 3 don de fournitures scolaires, 4 corps de garde, 1 poste de gendarmerie et, pour couronner le tout, l’entretien de près de 500 kilomètres de routes, notamment, les axes Ongongo-Ngolayop, Azombe-Bolossoville, Okok-Melo’o et, enfin Nkolmengoua-Minvoul. Autant de réalisations à caractère social qui, en dépit de quelques insuffisances, augurent de bonnes perspectives pour le Bien-être des communautés villageoises.
Valéry M