Gabon / Ces promesses non tenues d’Ali Bongo, que le Peuple gabonais n’oubliera jamais.
Dès sa campagne électorale en 2009, Ali Bongo Ondimba, s’est très vite prononcé sur de grandes promesses qui ont suscitées d’énormes espoirs dans les cœurs des gabonais. Toute chose qui justifie nul doute le taux de suffrage qu’il aura engrangé à l’issue de ce scrutin, en dépit de fortes contestations observées à cette époque par les soutiens de son principal challenger André Mba Obame.
Sauf que, 12 ans après son accessession à la magistrature suprême, force est de constater avec désolation, que les multiples promesses qu’il avait faites aux populations gabonaises devant les médias nationaux et internationaux n’ont toujours pas vu le jour… Et, les gabonais, à 2 ans de la fin de son 2ème mandat, continuent désespérément d’attendre leurs réalisations. Nous Rappelons ci-dessous quelques jolies promesses non tenues par Ali Bongo Ondimba que le peuple gabonais n’oubliera au grand jamais…
1- Qu’il aurait un nouvel aéroport en construction du côté d’Andem ;
2- Que le Gabon allait avoir une nouvelle compagnie nationale aérienne ;
3- Que tous les établissements scolaires du Gabon allaient être dans les barrières ;
4- Que 5 000 logements seront construits chaque année ;
5- Qu’il y aurait une université à Oyem, Mouila et POG ;
6- Que Dubaï serait érigé en miniature au Port-Môle (la Baie des rois)
7- Que le Gabon sera émergent en 2025.
8- Que les services de l’État Gabonais ne seront plus locataires dans les immeubles des particuliers ;
9- La construction du plus grand marché du Gabon ;
10- La construction des barrages hydroélectriques de l’impératrice, de fé 2, …
11- La construction de la route nationales (RN1) en 2 fois 2 voies, en partant du PK 0 ;…
Pour ne citer que celles-la… il serait peut-être temps pour le gouvernement et l’entourage immédiat du Chef de l’Etat, de mettre les bouchées-doubles pour aider le numéro un gabonais à rattraper dans les plus brefs délais, ce qui est rattrapable. Car 2023 se pointe déjà à l’horizon…
Valéry M.