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MEDIAS : Moussa Ndziengui, un artisan de la discrimination au cœur de la corporation.

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Décidément, l’acte terroriste perpétré à Libreville par le sujet ouest-africain, d’origine nigérienne, serait-il devenu une aubaine génératrice de bien mal acquis pour le journaliste Moussa Ndziengui, l’attaché de presse du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon ? Dit-on, le malheur des uns fait le bonheur des autres. L’Islam, une religion sainte dont les fondements s’articulent sur l’équité, le respect, la solidarité, la paix, l’amour, l’adoration et la crainte d’Allah, serait-elle perçue malicieusement par certains musulmans, comme étant une source de prospérité démesurée et, un apparat de dissimulation des péchés, entretenus en silence par des égoïstes-hypocrites-profito-situationnistes ?

Sinon, comment comprendre l’attitude de Moussa Ndziengui, un attaché de presse de son acabit, grand musulman, dévoué à la croyance islamique, avec toute la confiance que lui témoigne les hauts dignitaires du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon, puisse traiter certains journalistes comme des moins que rien, tout simplement parce qu’il est question de perdiem ? Que veut-il que les confrères pensent de lui, lorsqu’il décaisse de l’argent en catimini à la faveur de ses amis sans émargement transparent ni traçabilité ? Suivez mon regard. Est-ce normal et intègre pour un musulman de son niveau, de se rabaisser au tant en versant dans l’orgueil, le mépris, la discrimination et la cupidité aussi avancée ? Faut-il rappeler que ce monsieur là, prie Allah au minimum 5 fois par jour ? Alors, que gagne t-il aux yeux de Dieu en œuvrant pour l’injustice et l’iniquité au sein de la corporation ?

Ces confrères qui, selon lui, ont commis un crime de lèse majesté du fait de ne pas appartenir à sont cercle fermé d’amis, n’ont-ils pas droit à un peu de respect et à un brin de considération pour avoir donné de leur temps et de leurs énergies deux jours durant, afin de couvrir et relayer la montée au créneau du Csaig pour la préservation des valeurs de l’Islam ? Vu la grande portée de l’objet de la sortie urgente de l’imam Oceni Ossa, accompagné de bien d’autres hommes de Dieu, était-il nécessaire de jouer à ce sale jeu ? A qui profite ces manœuvres discriminatoires ?

C’est quoi ce comportement anti-islamique ? Est-ce à dire que ses fameux potes sont des supers journalistes émérites à tel point qu’il en vient même à sous estimer les autres ? Arrêtez s’il vous plaît ! S’il s’estime être un vrai et grand journaliste « Islamo-émergent » « made in Gabon » il se doit de prendre de la hauteur face à ce type de situation afin d’éviter de frustrer inutilement des confrères au tour de lui. Plutôt que de ternir son image à cause des « pipis de chats » A-t-il oublié que tout est vanité, vanité des vanités ?

Favoriser les uns au détriment des autres n’est pas une évidence de crainte pieuse. L’humilité, le sens du partage raisonnable et, la reconnaissance du moindre effort, sont des caractéristiques des hommes spirituellement élevé. Qu’on le veuille ou pas. Ça ne sert donc à rien de profiter de la pluie pour chier dans le torrent. La mosquée n’est pas un lieu approprié pour foisonner l’arbitraire, l’injustice et la division. Maîtrisons-nous svp. L’argent n’est pas une finalité (…) car il y a mieux à rechercher dans la foi. Il est peut-être temps qu’il revoit la copie de sa conscience et sa considération pour son prochain…

Valéry M

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