Gabon / Ike Ngouoni Aila Oyouomi, décroche le Sacre honorifique de « Politic Golden Elite 2017 »
Ike Ngouoni Aila Oyouomi, nommé le 13 septembre 2017 par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, au poste de Conseiller spécial, Porte-parole du Président de la République. Alors que personne ne s’attendait à voir un jeune de son acabit sur une tribune aussi délicate que sensible, marquée d’empreintes et de griffes redoutables d’Alain Claude Bilie-By-Nze, voilà que va surgir l’impertubable Ike Ngouoni Aila Oyouomi.
Son audace, sa maîtrise de soi, sa perspicacité, son éloquence et son charisme vont très vite le révéler au peuple gabonais. En dépit de la timidité apparente avec laquelle il débuta son face à face avec la presse, l’homme a su s’imposer magistralement sur le pupitre présidentiel scarifié par le passage de son prédécesseur. Oui, il faut l’avouer et même le lui reconnaître! Il faut être fort et courageux pour remplacer et effacer en un laps de temps, les traces d’une tête rusée comme celle de Bilie.
Un exercice de très haut niveau, doté de philippiques et d’équations à plusieurs inconnus, qu’à su aborder en très peu de temps, avec sérénité, l’actuel Porte-parole de la Présidence de la République. Son style tout à fait particulier a fait de lui, un orateur pondéré, cohérent, respectueux, adaptatif et persuasif face aux questions épineuses des journalistes. Des caractéristiques qui font de Ike Ngouoni, un défenseur impartial des valeurs républicaines. Un véritable courroie neutre, de transmission informative entre le Chef de l’Etat et ses compatriotes. L’humilité qui se dégage dans sa personnalité, le concilie naturellement à son auditoire.
Bref, ce Monsieur a tout ce qu’il faut pour un Porte-parole digne de ce nom. Une valeur sûre montante et prometteuse, au service des gabonais via la première Institution du pays. Toute chose qui lui vaut le mérite du Sacre honorifique de « Politic Golden Elite 2017 » une distinction qui lui a été attribuée officellement par le Laboratoire de l’Agence privée d’analyses Multi-Médias. Bravo !
Valéry M.