Gabon/ Politique pro-mortaliste : Geoffroy FOUMBOULA LIBEKA, a mis à nu la médiocrité du ministre de la Santé…
OPINION RECUEILLIE : Gabon, politique mortaliste du gouvernement : La femme gabonaise n’a pas besoin d’avortement mais d’accompagnement. Mes observations au Dr Guy Patrick OBIANG NDONG. « Voilà un pays, le moins peuplé de la CEEAC après Sao-Tomé et la Guinée-Equatoriale, densité la plus élevée de la CEEAC par habitant au km2, taux de natalité le plus faible tout cela en étant le pays le plus riche de la CEEAC au regard de son P.I.B/Habitant qui ignore tout de la puissance démographique tant pour des questions économiques, de sûreté et sécurité nationale.
J’avais déjà chiffres à l’appui produit une analyse en 2020 sur le risque des politiques mortalistes développées par le Gabon au détriment des politiques natalistes._* Au nombre des politiques mortalistes :
1) La promotion de l’homosexualité ;*
2) La promotion des détournements de deniers publics impactant le quotidien des gabonais et poussant soit aux avortements qu’à l’abandon des fois dans des toilettes des enfants;*
3) Le durcissement des procédures d’adoption au Gabon poussant plusieurs familles à aller adopter à l’étranger et promouvoir ainsi le statut de gabonais par adoption ;
4) La légalisation de l’avortement ;
5) L’autorisation accordée à OLAM de faire par exemple recours à la main d’oeuvre étrangère dans le secteur agricole ;
6) Aujourd’hui, la pose d’implants dans le corps des femmes gabonais pour limiter la natalité au prétexte de lutter contre l’avortement.
La réalité qui semble se dessiner est que les autorités en place semblent avoir opté POUR LE GRAND REMPLACEMENT. AVOIR ASSURÉMENT UN PAYS HABITÉS PAR PLUS DE GABONAIS D’ADOPTION QUE DES GABONAIS AUTOCHTONES.
Je mets à défi le gouvernement gabonais de nous présenter un seul pays de la CEEAC qui développe sur son sol les 6 points que je viens d’énumérer. Par sa faible démographie, même en ayant en continue un P.I.B toujours le plus élevé, le Gabon demeurera le pays le plus fragile de la zone tant que le P.I.B sera à plus de 70% constitué par les entreprises étrangères et tant que sa démographie demeurera faible et que les expatriés devenus gabonais d’adoption continueront à prendre plus de place que des autochtones au point de voir des libanais devenus gabonais chasser les autochtones gabonais de leur terre au prétexte que la loi confère les mêmes droits aux gabonais de souches que ceux d’adoption sauf pour compétir à la Présidence de la République s’ils ne sont pas de la 3ième ou 4ième génération.
Cette gouvernance devient un réel danger pour la République. Au lieu de convenablement repartir les richesses et mettre en place une politique incitative à la natalité, ce sont les mêmes, sous prétexte de l’égalité des genres et lutte contre l’avortement qui ambitionne de diminuer la population gabonaise. Dans 20 ou 30 ans à cette allure, la population de la Guinée-Equatoriale sera plus nombreuse que celle du Gabon. Les enjeux internationaux actuels sont d’ordre démographique, même la Chine a dû revoir sa politique face à la montée démographique des pays comme l’Inde, le Nigéria,etc…le Gouvernement gabonais semble quant à lui ne pas comprendre grand chose aux politiques internationales
Au risque de le regretter sous peu, il faut stopper ce pilotage à vue qui vise à profiter des richesses du Gabon mais sans les gabonais AUTOCHTONES.
Geoffroy FOUMBOULA LIBEKA MAKOSSO