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La déclaration tonitruante,  marquant l’indignation du président du Front Patriotique Gabonais, Gérard Ella Nguema sur l’actualité politique du pays, initialement prévue se tenir à la Chambre de commerce de Libreville, reportée du fait d’un abus de confiance lié au non respect des closes locatives de la part du maître des lieux dont il soupçonne d’ailleurs avoir été instrumentalisé par le pouvoir pour boycotter sa démarche, s’est finalement déroulée hier dimanche 07 juillet 2019, à son siège sis à Sotega. Le patron du FPG était accompagné de son homologue Thierry Ondo Assoumou Ndong, du Mouvement de Redressement National (Morena). Nous vous livrons l’intégralité de ses propos ci-après…

Le Président du FPG, Gérard Ella Nguema, procédant à la lecture de sa déclaration…

Gabonaises, Gabonais
Chers compatriotes,

Notre pays le Gabon vit des moments d’extrême gravité. En tant que leader politique nous voyons la souffrance, la méfiance. L’incertitude, la perdition, la confusion, la dévastation de l’unité nationale et la paix. Cette situation impose qu’aucun citoyen digne d’être gabonais ne se taise au risque de faire croire au monde entier que nous sommes dans une situation normale. Sommes-nous encore fiers d’être gabonais.

Depuis le 24 Octobre 2018, date à laquelle Monsieur le Président de la République, son excellence Ali BONGO ONDIMBA a été frappé d’un accident vasculaire cérébral (AVC), trop de chose se passe au sommet de l’état où il existe un imbroglio, à tel point que l’on ne sait plus qui dirige le pays. Les gabonais ont le sentiment que leur pays est dirigé par procuration, voire par des individus non-autorisés n’ayant aucune responsabilité conférée par la constitution de notre pays.

Dans tous les cas pour nous, seul Ali BONGO est comptable de la gestion du pays. Bien élu ou mal élu, c’est lui et lui seul qui a été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle de 2016, et nul autre personne. Il s’est présenté seul. Il n’y avait ni Directeur de cabinet, ni madame la première Dame qui n’est pas un titre constitutionnel, ni enfant sur une liste quelconque présentée à cette élection. Pour
rappel, l’élection présidentielle est uninominale.
S’il se trouve que Monsieur le président de la république, devenu inaccessible aux forces vives de la nation et au peuple en général, par la volonté de ses collaborateurs, certainement pour des raisons inavouées, n’est plus à même d’assurer les charges de sa fonction; alors nous lui suggérons de devenir le précurseur de l’alternance dans notre pays à travers l’organisation des élections libres et transparentes anticipées, avec l’appui de la communauté internationale.

Il n’est pas question que des caméléons, des tortues à double carapace, des personnes aux ambitions
démesurées se servent de cette situation particulière relative à son état de santé actuel pour le
manipuler, et l’utiliser à des fins personnelles. Nous observons qu’inaugurer les chrysanthèmes est
devenu leur activité principale avec un discours aux antipodes de leurs agissements quotidiens.
Le Gabon est composé de plusieurs ethnies, que l’on ne monte pasles unes contre les autres, car Léon
MBA et Omar BONGO nous ont légués un pays en paix, où il fait beau vivre. Les ethnies se côtoient au
quotidien et créent des liens indestructibles. Ce qui se trame dans les esprits malins, n’est pas
Gabonais.

A L’exemple de l’appel lancé par Ernest MPOUHO EPIGAH Ministre de l’Habitat aujourd’hui, je cite :
– Invitant les ressortissant du Haut Ogooué, à utiliser tous les moyens possible pour défendre
le régime en place ;
Au regard de ses propos, est-ce une invite aux autres Gabonais à entretenir des déclarations
incendiaires pour devenir Ministre, ou est-ce un appel à la guerre contre les autres Gabonais? Mais
étant donné que ce sont eux qui sont en possession des armes. N’est-ce pas là, la preuve d’une
tentative au génocide des autres communautés Gabonaises. « Conserver le pouvoir par le sang,
quel extrémisme ! Heureusement qu’il y’a des vrais Altogovéens Gabonais et Patriotes.
Une question se pose, où est le Procureur de la République devant de tels propos ?
Une autre, nous ramène vers le Premier Ministre le plus boulimique en nomination, 718
nominations en un seul conseil de ministre. Lui qui parle d’éthique et d’impunité zéro, que pense-
t-il de cet homme susceptible de mettre en péril l’unité nationale et la paix chère à Omar BONGO ?
Grâce à qui doit-il tout ce qu’il est ? Détruire l’œuvre de paix du président Omar Bongo Ondimba
est-il synonyme de reconnaissance ?
Nous appelons à la sagesse des notables du Haut Ogooué, spécialement à ceux qui ont donné les
attributs de Chef à celui qui sème à tout vent à la place d’Ali BONGO, ainsi qu’à ses amis conspirateurs.
Dites-lui qu’il n’est pas le président de la République et que par conséquent, qu’il arrête ses
gesticulations. Nous pouvons savoir quand ça commence, mais nous ignorons où cela va s’arrêter. Le
Gabon n’a pas besoin de rentrer dans une zone de turbulence politique. Dites-lui que les autres
gabonais, ne sont pas d’accord avec ce qui se fait par lui et son groupe d’amis. Il y’a trop de rivalité,
de frustration et des règlements de compte entre clan surtout des hommes nantis. Imaginons- nous
ce qu’un conflit entre des groupes des personnes ayant les mêmes moyens peut produire. Quel
bénéfice le pays, et le peuple peuvent en tirer ? Si ce n’est que sa destruction programmée.
Connaissez-vous la durée de vie d’un poisson ? Dixit Omar Bongo Ondimba.
Oui, mes chers compatriotes, Monsieur Laccruche ALIHANGA , puisqu’il s’agit de lui, a placé parents,
amis et courtisans à la tête de tous les postes juteux, parfois sans compétences requises, dans quelle
optique ?
Est-ce normal de placer la gestion de l’Economie, des finances, du transport du Gabon, etc., entre les
mains des personnes dont la probité morale est à questionner ? Une personne ayant conduit à la
banqueroute une grande institution bancaire de référence et des individus présumés responsables
de malversations financières peuvent-ils faire partis d’un gouvernement sérieux? Nous comprenons
pourquoi notre pays s’enfonce de plus belle dans le Chaos. Votre plan machiavélique de couler Ali
BONGO doit s’arrêter là.
Essayons de faire un petit bilan de votre passage aux affaires.
De 2009 à 2016, au lieu de vous amender, vous vous enfoncer de plus en belle dans, l’improvisation et
l’amateurisme.

Sur les plans :
– Educatifs : les Gabonais peuvent constater qu’aucune école n’a été construite. La population
scolarisable s’accroit, le gouvernement ferme les écoles au lieu d’en construire. Il transforme
les écoles primaires pour en faire des établissements secondaires. Et dans ce qui sert d’école
aujourd’hui, les enfants suivent les cours assis à même le sol. A cela s’ajoute la montée du
grand banditisme et de l’insécurité (dont la drogue et la prostitution).
– Pas d’hôpitaux : refaire quelques structures, ce n’est pas construire des hôpitaux. Les
populations souffrantes, parcourent des dizaines de kilomètre pour payer cher des
consultations et des ordonnances, pour espérer obtenir quelques soins, parce que les
dispensaires et les établissements de proximités manquent presque de tout (personnels,
plateaux techniques et médicaments). Même la CNAMGS crée par MBA OBAME et qui vous a
été léguée, vous n’arrivez pas à l’exploiter de façon efficiente. Alors que l’on continue à
prélever aux Gabonais de toutes couches sociales les cotisations pour le bon fonctionnement
de la CNAMGS, les prestations sont suspendues. C’est une situation similaire à la SEEG ou 7%
de la consommation des ménages est reversé à la Mairie. A qui profite ce énième abus sur le
consommateur ?
– Sur le plan des pensions CNSS : il est à regretter que pour des raisons électoralistes, le pouvoir
et la Direction Générale de la CNSS aient violé l’article 100 du code de sécurité sociale, qui veut
que les pensions soient trimestrielles, les faisant mensualisés depuis 2014. Alors que les
populations retraitées ont pris l’habitude, ce même pouvoir et la Direction Générale de la CNSS
décident unilatéralement, de revenir au paiement des pensions par trimestre. à ce jour, nous
déplorons deux décès dans les rangs des retraités sans que cela n’émeuve le gouvernement ni
la direction générale de la CNSS. Au fait, dite nous : où sont passés les trois ans de cotisations
avant début de paiement entre 75 et 78, années des premiers recouvrements d’allocation
retraite ? ou sont passé les centaines de milliards recouvrés par YALANDZELE ? Non, la CNSS
doit normalement être en surliquidité au regard de la plu value bancarisée.
« Payez les maigres pensions de nos retraités, que nous serons à notre tour demain »
– Pas de société de transport digne de ce nom : La seule existante est gérée comme une épicerie
de famille. A ce jour, au lieu de la réhabiliter, le gouvernement va la concurrencer, pour mieux
la sacrifier « pour ne pas dire la tuer ». la pauvre SOGATRA est en train de mourir d’une mort
programmée. Combien de temps va mettre la nouvelle société de transport avec des bus non
performants, et des gestionnaires toujours de moralité douteuse ? Dites-nous La nouvelle
société de transport sera-t-elle publique ou privée?
– Les 5000 logements que nous avait promis Ali BONGO, les Gabonais les cherchent. Vous avez
fait promettre des chimères à Ali BONGO.
– Comment peut-on expliquer la suppression du Conseil gabonais des chargeurs quand deux
mois après il produit deux milliard
On ne construit pas un pays en curant simplement les caniveaux. Arrêtez le saupoudrage et l’en
farinage. Les gabonais ne sont pas dupes. Une Association ne remplace pas la République.

Aujourd’hui, les missions régaliennes de l’état sont assurées et exécutées par l’association AJEV que
nous voyons un peu partout sur le territoire national en lieu et place des ministères en charges de ces
activités. Le Gabon est devenu un pays des dons de cette association (Même si le caméléon change
de couleur, il reste caméléon).
– Ou sont les emplois que vous avez promis aux Gabonais, en puisant des sommes faramineuses
dans les caisses de l’état, afin de réussir votre projet « un jeune- un métier ». qu’en est-il
finalement ?
– Où est passé l’ANGT. Vous avez vendu la chimère à Ali BONGO.
– Pourquoi le Trésor Publique a pour domiciliation la Présidence de la République et a pour
ordonnateur principal le collaborateur du Président ? Nous exigeons le retour à la République
et nous exigeons que certaines institutions comme la Mairie centrale de Libreville ne soient
pas transformées en garage d’amis et connaissances, ou même les illettrés sont bombardés
Directeur de département ou Conseiller. Sommes-nous actuellement dans un processus de
destruction massif du Gabon ? Ali BONGO ou es-tu ? vois-tu ? entends-tu? Tous ce qui se dit
et se fait !
Gabonaises, Gabonais, chers compatriotes.
La république est en danger. Il est temps de nous ressaisir, car ce qui nous réunit est plus important
que ce qui nous divise. Nous n’avons qu’un seul Gabon, celui que nous ont légué Léon MBA et OMAR
BONGO ONDIMBA. Nous en appelons à la conscience de tous, car il faut barrer la route à l’imposture,
aux prédateurs financiers, politique et administratifs. Il faut nous rassembler impérativement. Le
Gabon a besoin plus que jamais de toutes ses filles et de tous ses fils pour préserver la paix. Le Gabon
demande à tous ses enfants : les sérieux, les malhonnêtes, les valides, les invalides, les traites, les
lâches, les corrompus, de tous ceux se sentant une âme patriotique, pour mettre fin avec amour au
désordre qui se fait au sommet de la République.
Que la famille biologique d’Ali BONGO ONDIMBA se réveille, et qu’elle frappe du point sur la table. On
ne doit pas se servir de quelqu’un qui est malade à ce point pour assouvir ses bases besognes. Nous
disons….ca suffit comme ça !
Omar BONGO avait dit que ses enfants pouvaient héritier de ses biens, mais pas du fauteuil
Présidentiel. L’homme était sage et expérimenté. Il savait ce que cela couterait comme prétention. Il
avait mis en garde les siens. Car lui, ayant grandi dans la pure tradition téké, savait comment déjouer
les tentations diaboliques.
– A vous Sylvia BONGO ONDIMBA, vous êtes notre belle-sœur, notre belle fille, notre maman
pour une certaine classe d’âge. Vous devenez trop voyante, et votre nom est cité un peu
partout. Vous êtes la première Dame parce que vous êtes l’épouse du Président de la
République. La constitution ne vous confère pas un rôle républicain. Ce ne sont que des
honneurs, dus au respect de la personnalité de votre époux.

Le Gabonais est un peuple pacifique, mais comme le couvercle d’une chaudière qui saute, rien ne peut
l’arrêter quand il se soulève.
– A Monsieur le Président de la République Ali BONGO ONDIMBA, nous vous demandons de
vous remettre en selle si vos capacités vous le permettent, rassurer l’ordre républicain, la
conscience nationale et apporter la sérénité. Accepté de jouer le jeu, c’est accepter ce qui
arrivera demain et constituera votre histoire.
Rappelons-nous du discours prophétique du sage et de la repentance : Dieu ne nous a pas donné le
droit de faire du Gabon ce que nous sommes en train de faire. Il nous regarde, il dit amusez-vous. Le
jour qu’il voudra nous frapper, il frappera.
Monsieur le Président de la République, « malheureusement ou heureusement c’est selon», vous avez
rencontré Dieu une fois. Quand on a été à la rencontre de Dieu on devient un homme averti. Etes-vous
certain qu’il vous pardonnera une seconde fois ?
Je pense et en bon africain, que vous n’avez plus le droit à l’erreur. Entourez-vous de personnes qui
veulent le bien du Gabon, suivez les conseils de votre famille, pour rectifier le tir.
Posez-vous des bonnes questions Monsieur le Président de la République :
– Qu’avez-vous fait du Gabon ?
– Qu’avez-vous fait de l’école Gabonaise ?
– Qu’avez-vous fait de la santé ?
– Qu’avez-vous fait de l’emploi ?
– Qu’avez-vous fait de la morale et l’éthique ?
– Qu’avez-vous fait des routes ? etc.
– Qu’avez-vous fait des finances ?
– Quel sort réservez-vous à la paix léguées et à l’unité Nationale en construction ?
Pourquoi cette recrudescence de l’homosexualité, des crimes, des détournements des deniers
publiques, et de tous les maux qui minent la société Gabonaise en ce moment.
Nous savons, oui nous savons que nous ferons l’objet de récrimination de tous genres, nous savons
que nous serons injurié, vilipendé, nous serons même l’objet de préméditation de mort. Mais sachez :
comme l’avait dit un homme politique de notre temps « nous ne pouvons choisir ni quand, ni comment
nous allons mourir, mais nous pouvons choisir, pourquoi et comment nous devons vivre ». Et nous,
nous choisissons de vivre pour défendre la république.
Nous voudrions dire, c’est le moment de le dire aux anciens de la trempe de MBOUMBOU MIYAKOU,
de Michel ESSONGUE, André Dieudonné BERRE et d’autres, que vous êtes les collaborateurs du
Président de la République pour conseiller les jeunes plus ou moins éclairer dans le sens de bien gérer
la chose publique, et non à les incités à jouer vos intérêts.
Léon MBA et Omar BONGO, même si, ils n’ont pas laissé notre pays à un stade de développement
assez poussé, ils ont le mérite de nous avoir laissé un pays en paix. Et celui qui osera mettre la paix,

cette paix en danger, sera notre pire ennemi. Qu’il s’appelle Ali BONGO, ALIHANGA, PING, ELLA
NGUEMA, ONDO ASSOUMOU, NZOUBA ou qui d’autre, il trouvera le peuple Gabonais sur son
chemin……. Le peuple Gabonais est un peuple de paix, nous voulons préserver cette paix jusqu’au bout,
nous y tenons. Nous comptons sur vous pour ne pas exercer des violences gratuites sur le peuple que
vous êtes censés protéger.
A vous les militaires, et l’ensemble des corps habillés, nous sommes tous des Gabonais. Vous êtes au
service de la République. Nous comptons sur vous pour un comportement républicain. Vous ne
gagnerez rien en défendant les fossoyeurs de la nation. Faites honneur au peuple que vous êtes censés
protéger.
En ce qui nous concerne, notre décision est prise, nous acceptons cette responsabilité et c’est un
privilège d’embrasser cette juste cause. Où êtes-vous Gabonais courageux ? Où êtes-vous les
patriotes ? Il est temps de nous lever et de répondre à l’appel de notre pays et dire : je suis présent !
Enfin nous appelons le Ministre de la justice et de l’intérieur à la retenue quant à la gestion des affaires
contre Monsieur Jean Rémy YAMA.
Nous invitons tous les hommes de bonne volonté, tous ceux qui sont volontaires et courageux à nous
rejoindre dans cet engagement à protéger la république, la démocratie, les libertés fondamentales et
la paix dans notre pays
La patrie avant tout…….

Je vous remercie

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