Gabon / La pâtisserie « PAUL » pointé du doigt pour maltraitance des nationaux
Thibaut Adjatys, récit : Les gabonais sont victimes de mauvais traitements chez eux, de la part de certains investisseurs étrangers, ce n’est un secret pour personne, ces gabonais subissent des traitements humiliants parfois dégradants de la part de ces étrangers, chose impensable ailleurs où vous êtes incarcéré ou expulsé du territoire manu-militari. Mais au Gabon, on laisse faire, ensuite, dans des discours creux d’Ali Bongo et ses alliés, ils viennent nous faire des leçons à deux balles sur le patriotisme.
C’est l’exemple des gabonais embauchés par les libanais à la pâtisserie Paul Gabon.
Là-bas, les esclaves Gabonais n’ont pas le droit aux restes de produits invendus de la journée, pourtant les pauvres ont des familles à nourrir, les Libanais préfèrent mettre tous les produits invendus de la journée à la poubelle au lieu même de donner à notre mère Adja Aïcha Mariam pour faire tourner son resto du cœur, surtout avec son petit cœur noir.
Et ces Libanais font travailler les esclaves Gabonais dans les conditions pitoyables, avec des heures de travail dépassant la norme, de véritables esclavagistes ces gens, tout ça sous le nez et la barbe des autorités Gabonaises fin ! s’il il en existe encore.
Tenez par exemple, les esclaves Gabonais n’ont pas le droit de prendre même un croissant pour manger à la pause, comme partout ailleurs, pas de droit au transport, ils leur crient dessus comme des enfants devant leurs familles, amis et connaissances puis les clients, les pauvres sont insultés puis maltraités devant les clients et pour clore le tout, les pauvres esclaves Gabonais passent plus de 8h de temps debout sans une minutes pour s’asseoir. On se croirait revenu à l’époque de l’esclavage.
Ces Libanais jettent plus de 6 sacs de nourriture par jours de quoi nourrir les gabonais qui viennent en masse au restaurant de maman Adja Aïcha Mariam où ceux qui vivent dans la misère à Kinguele, avea, ou dans la déchèterie de Mindoubé.
Si ces Libanais n’améliorent pas leurs langages vis à vis des Gabonais ainsi les conditions de vie de ces derniers nous seront contraints d’appeler au boycott des produits « PAUL » sur toute l’étendue du territoire Gabonais, comme ça se fait dans tous les pays du monde lorsque des entreprises ou des étrangers ne respectent les nationaux ou le droit du travail.