ETRANGER/ Paul BIYA serait mort dans un hôpital en Europe d’après la Chaîne de télévision ABS News
Il est regrettable de constater qu’à chaque fois qu’un Président africain tombe gravement malade, ses proches collaborateurs en font toujours un mystère, pire encore, si ce dernier venait à passer de vie à trépas. Mais malheureusement, ces scènes de théâtre mystérieuses souvent orchestrées malicieusement par les mains invisibles tapis au sommet de présidence, ne tardent pas à se dévoiler par les médias Étrangers fraîchement informés. Sommes-nous dans un cas similaire ?
Président de la république du Cameroun, Paul Biya, annoncé pour mort par les médias Étrangers.
Alors que l’information sur le décès du Président du Cameroun Paul Biya devient virale sur la toile, les autorités de ce pays voisin ont opté pour un démenti, préfèrant ainsi, gèrer en catimini, oui, à l’insu du peuple camerounais, cette situation alarmante devenue très préoccupante pour les africains. Car, n’ayant aucune preuve justifiant ce démenti du gouvernement, ils veulent connaître la vérité…
Avec l’opacité que revêt ce genre de situation, on se rend bien compte que le problème de l’Afrique, c’est africain lui-même. Autrement dit, c’est parfois à tort que nous accusons les occidentaux. Disons-le en toute franchise, concernant Paul Biya, nul n’ignore qu’il est très épuisé et affaibli par le poids de l’âge. Toute chose qui l’expose à toute forme de maladie et bien entendu à la mort naturellement. Et cela fait partie du cycle de vie de tout être humain. Sauf qu’à un moment donné, il faut savoir quitter de lourdes responsabilités à temps afin de se donner la chance d’accroître davantage la longévité en temps de vieillesse avancée.
Il serait donc bon pour Paul Biya d’éviter de mourir sur le trône, en démissionnant afin qu’il ait suffisamment de temps pour s’occuper correctement de son état de santé et préserver sa vie pour longtemps encore. A moins de choisir la voie qui mène à l’agonie, à la revolte et/ou aux émeutes, en mourant dans le fauteuil présidentiel. Comme s’il n’y avait pas d’autres camerounais capables de diriger ce pays frère.
Valéry M
Affaire à suivre…
