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Gabon / Les 4 figures pressenties pour la Vice-Présidence de la République ?

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Le fauteil du prestigieux poste de la Vice-présidence de la République, resté vacant depuis l’éviction rocambolesque de Pierre Claver Maganga Moussavou, serait en passe de voir s’y installer, une nouvelle figure de proue de l’arène politique gabonaise. Selon nos sources, quatre (04) personnalités seraient pressenties pour cette haute fonction au sommet de l’État. Il s’agit de : 1 – Guy Nzouba Ndama, Leader du Parti les Démocrates et ancien Président de l’Assemblée nationale ; 2 – Seraphin Ndaoh Rembongo, Chef de file du Parti Démocrate Social (PDS) et actuel Président du Conseil national de la Démocratie (CND) ; 3 – Raymond Ndong Sima, ancien Premier ministre, Chef du gouvernement ; 4 – Akouré Davain, Président du Parti Alliance pour le Nouveau Gabon (ANG).

Qui succèdera à Pierre Claver Maganga Moussavou, ancien Vice-Président de la République gabonaise ?

C’est face à l’obligation de se conformer aux dispositions constitutionnelles régies par la loi fondamentale en République gabonaise que le Chef de l’État, dans son pouvoir discrétionnaire se trouve être dans une impérieuse nécessité républicaine de désigner dans les tous prochains jours, l’illustre personnalité qui occupera désormais le prestigieux fauteuil de la Vice-présidence de la République. Sous le collimateur des Conseils rapprochés du Chef de l’Exécutif, les 4 noms cités supra y reviendraient avec insistance. Toutefois, la question est de savoir, qui, de ces probables futurs nominés, aurait le profil idéal, susceptible de retienir le plus, l’attention du Président de la République ?

Les quatre personnalités sous le viseurs, sont tous autant qu’ils sont, des figures de proue de la classe politique gabonaise. Sauf que, chacun, de par le reflet de son passif et son actif face à l’appréciation relative et dubitative du peuple gabonais, devra s’attendre aux philippiques et aux jugements de valeurs approfondies, avant et après une éventuelle nomination. Par ailleurs, le critère ethnique, bien qu’abject, et anti-républicain, serait nul doute au rendez-vous des analyses des observateurs vicieux tapis dans l’ombre de la démarche secrète de cette nomination politique en gestation. Mais attention ! Depuis l’avènement d’Ali Bongo Ondimba, au pouvoir, le successeur d’Omar, a montré à suffisance par ses choix « hors normes » que tout est possible avec lui. Ne soyons donc pas surpris de voir un Fang, un Pongwé ou un Nzébi, décrocher la Vice-présidence de la République… Bref, la course est lancée, seul, l’avenir dévoilerait le résultat final des enjeux d’une aussi importante nomination… attendons !

Valéry M.

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