Opinion citoyenne / Réaction de Raymond Ndong Sima
Dans le sujet : L’énormité et la grossièreté des mensonges auxquels vous avez recours derrière une association dont personne n’a jamais entendu parler sont le reflet fidèle de la peur qui vous a gagné à la suite des deux questions pourtant claires et simples que j’ai posées.
Ceux qui vous utilisent et veulent s’exonérer de répondre à ces deux questions voudraient créer une diversion qui leur permettrait de détourner l’attention du sujet du moment.
Je vous répondrai point par point de mon enfance que vous décrivez difficile à ma position à la nuit des dupes.
Ceux qui me connaissent savent que j’ai eu une enfance pauvre certainement, difficile non : ni pour ma mère qui m’a bien couvert de son affection ; ni pour mes camarades avec lesquels j’ai grandi en grande harmonie ; ni pour mes enseignants tant du primaire que du collège.
Mais le sujet du jour ce n’est pas cela. Ce sont deux questions dont les réponses intéressent le débat politique national.
1. Comment Oyé Mba a-t-il pu se trouver en minorité avec cinq (5) voix à une réunion qui apparaît comme un guet-apens dans la maison du chef de son parti alors que Jean Ping y comptait au moins dix (10) partisans.
2. Quelle était l’équité d’une réunion supposée choisir le représentant de l’opposition au cours de la quelle Ping s’est trouvé représenté par dix (10 personnes ; Oyé Mba par cinq (5) personnes ; Nzouba Ndama par quatre (4) personnes et Ndong Sima par une (1) personnes ?
J’attends et beaucoup de gabonais attendent une réponse claire.
Raymond Ndong Sima