Gabon / Visite de la Zes de Nkok : L’Imam Abdoul-Fattah Monbakala, manque de mots pour qualifier sa joie.
Une première dans l’histoire de la promotion du développement industriel au Gabon : les Chefs religieux du pays ont effectué une descente exceptionnelle à la Zone économique spéciale (Zes) de Nkok, pour apprécier d’eux-mêmes de visu, les produits générés par nos industries. L’Imam Abdoul-Fattah Monbakala, ému par la qualité de production haut de gamme, découvert sur les lieux, a dit manquer de mots pour décrire sa joie.
Pour rappel, les dirigeants de Gabon Special Economic Zone de Nkok, sous la coordination de l’administrateur général Gabriel Ntougou et, sous l’accompagnement du leader pionnier de la société civile gabonaise, Dieudonné Minlama Mintogo, ont permis aux confessions religieuses de tous bords de notre pays, de rendre visite aux usines de production de la Zes et, de découvrir les différents produits présenté au sein du centre d’exposition d’Olam ouvert surplace.
Une initiative louable et tout aussi rassurante pour les leaders religieux, qui aura donné l’opportunité à L’Imam Abdoul-Fattah, Conseiller du Président de la République, de toucher du doigt les installations du New Owendo International Port (NOIP), la Pompe Room, et l’expansion de 300 m du linéaire du quai, une usine de fabrication de batterie de voiture (Société Sheng Rong), une usine de transformation du bois (société Solid Wood) et enfin, l’usine de production d’eau (Société Eau Origen Pure)
«Dans la vie chacun a un projet, et, il y’a un fossé entre ce qu’on veut faire et la réalisation de ce qu’on a souhaité faire. En résumé, c’est un don! Olam est un don de Dieu pour nous au Gabon. En tant que religieux je dis que c’est un don que Dieu a voulu faire au Gabon, de permettre que cela se réalise au Gabon. Si les autorités de ce pays avaient fermé les portes à Olam, ils auraient réalisé ça ailleurs. Ça aurait été le bonheur pour d’autres pays qui se seraient réjouit de cela. Dieu merci pour ceux qui ont été au début de la réalisation, des négociations pour amener Olam à réaliser ce qui a pu être réalisé dans ce pays » a reconnu l’Imam.
Avant de renchérir ses arguments personnels : « je dirai que l’œuvre parle de son auteur, elle définit les qualités de son auteur, elle montre l’intelligence et la sagesse de son auteur. Et, nous disons encore une fois merci et nous souhaitons qu’Olam continue et que l’État continue de lui accorder sa confiance. Souvent on a besoin de voir pour raffermir son cœur, avoir une position nette entre ce qu’on entend et ce qu’on voit. Donc rassurez-vous que nous serons les ambassadeurs de ce que nous avons vu aujourd’hui, de ce bien, de ce bonheur que nous avons pu avoir. Nous attendons d’Olam que les pauvres et les nécessiteux ne soient pas oubliés. De ne pas baisser les bras, de ne pas se laisser décourager » a souhaité L’Imam en guise de conclusion.
Valéry M.