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Pensée Azizetique/ Tensions aux marché Mont-Bouët : Xénophobie, Guerre de clans et chantage politique.

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Le marché de Mont-bouet connaît actuellement des tensions qui n’ont pas lieu d’être entre les commerçants nationaux et les opérateurs économiques ayant dûment reçu de l’édile de Libreville, une autorisation d’occupation temporaire de l’espace public communal. Des querelles aux allures de xénophobie qui, au finish, donnent l’impression que les autorités municipales seraient responsables de ce qui s’apparente à une guerre de clan et à un chantage politique à l’égard de la première magistrate de la ville. Or, Christine MBA Ndutume et ses adjoints n’y voient rien d’illégal, d’autant plus que ces expatriés agissent conformément à un accord signé avec les autorités municipales. 

Le Maire de Libreville, Christine MBA Ndutume, et ses adjoint, réunis face aux opérateurs pour mettre au clair cette affaire…

Notre confrères du journal en ligne Noïse Infos.com, suffisamment imprégné du dossier, a passé au peigne fin, les véritables causes qui seraient à l’origine des vives tensions qui s’observent entre nos compatriotes commerçants et les expatriés détenteur d’une autorisations d’occupation temporaire de l’espace public communal qui s’exprimer d’ailleurs le 05 décembre prochain. Ci-après le récit des faits qui enveniment cette affaire…

Une vue des maires adjoints ayant pris part à la réunion de clarification…

Véritable machine à sous qui attire toutes les convoitises, occasionnant souvent des tensions entre clans ou communautés. Mont-Bouët, considéré comme le plus grand marché de la Commune de Libreville, est ces derniers temps le théâtre d’affrontements de tranchées entre opérateurs économiques rivaux – groupes de commerçants locaux et expatriés.

Une vue des parties prenantes en pleine réunion de mise au point pour un retour au calme…

En effet, un vent d’escalade souffle sur les étales des commerçants de ce grand espace commercial. Sous-tendu par certaines mains noires, qui, pour parvenir à leurs fins, exploitent éhontement l’argument nationaliste. Quand d’autres vont plus loin, en diffamant la Maire de Libreville via les réseaux sociaux.

Or, des sources proches du dossier, ce qui met le feu aux poudres entre ces différents acteurs serait tout simplement le refus par certains commerçants « réfractaires » d’honorer à leurs engagements vis à vis des opérateurs économiques ayant bénéficié de façon légale à une autorisation temporaire d’occuper l’espace public communal au sein de Mont-Bouët.

Un document, précise la Direction générale des affaires économiques ( DGAE) de la Mairie de Libreville, qui avait été sollicité respectivement par Sieur Boris le 24 août 2022, au compte de l’association des jeunes commerçants gabonais. Et par Sieur Éric qui serait d’origine nigériane, le 13 septembre de la même année, agissant au nom du collectif des vendeurs de la gare routière.

Ces demandes d’autorisation temporaire d’occupation du domaine public communal, rappelons-le, avaient préalablement été soumis au Ministre d’Etat, Ministre de l’intérieur pour accord, par la Maire de Libreville, avant la signature des arrêtés leur permettant ainsi d’exercer en toute légalité. Ceci, afin de se conformer à la volonté des plus hautes autorités de l’Etat, qui avaient alors lancé l’opération  » Libérez les troittoires, soutien la DGAE.

Or, poursuit cette direction technique, peu après le démarrage de leurs activités dans le marché, certains commerçants rechignent à payer les taxes indues à l’opérateur Éric Ouwa, prétextant qu’il serait un expatrié, et donc non compétent pour effectuer de tels recouvrements auprès des nationaux exerçants dans la zone attribuée à lui par les autorités – la loi n’interdisant pas à un tiers de mener une telle activité, assure les services de l’Hôtel de ville.

MONT-BOUËT: scène de règlement de comptes politiques, en période pré-électorale ?

AUDIOS DE LA FRIPPERIE,CHANTAGE, MAUVAISE FOI

Soit par méconnaissance des textes en la matière ou soit par une volonté manifeste, mus par des intérêts inavoués, certains  » petits esprits malins », ont préféré faire dans l’intimidation ou le chantage politique à l’endroit de l’édile.

En effet, via les réseaux sociaux, ces derniers ont brillé ces derniers temps par la diffusion et l’émission de vidéos et audios, indexant directement la Maire de Libreville, comme étant celle qui serait à l’origine de cette ruée vers lors au bénéfice des non nationaux. Et par cet agissement mettrait en péril la politique du Chef de l’Etat. Du fait qu’elle ne veuille pas faire la promotion des opérateurs économiques gabonais.

Alors que, comme nous l’avons précédemment indiqué, cette dernière n’est ni à l’origine ni au centre de cette affaire qui frise la xénophobie et la mauvaise foi- ce n’est pas un secret d’alcôve: au marché Mont-Bouët,il y a une lutte féroce des sites juteux entre opérateurs économiques, chefs de secteurs et certains hauts responsables y ayant des intérêts.

Pour le surveillant général du Marché Mont-Bouët Serge Engohang. Ce qui attire la foudre de certains commerçants, réside simplement dans le mode opératoire utilisé par les détenteurs de ces autorisations temporaires.

Parfois, lorsque ceux qui doivent payer les taxes refusent de le faire, relate-t-il, l’opérateur est souvent obligé d’employer la manière forte: assistance de la police municipale, qui scelle des marchandises de ceux qui sont réfractaires – ce qui n’est pas pour plaire à ces derniers, qui se sentant acculés préfèrent s’adonner aux manœuvres politiciennes- souvent lors des périodes électorales, favorables pour entretenir un tel climat malsain.

Afin d’apaiser ces tensions inutiles entre clans et commerçants, l’édile s’est-elle vue obligée de convier les deux parties hier lundi 21 novembre à une réunion d’information et d’éclairage, afin que chacun, selon son niveau de responsabilité agisse conformément à la réglementation en vigueur.

Cette rencontre s’est déroulée en présence des 1er, 4e 5e adjoint au Maire de Libreville, du Secrétaire Générale de l’institution municipale, ainsi que des principaux concernés par ces foyers de tensions au sein du marché Mont-Bouët.

Notons que ces autorisations d’occupation temporaire de l’espace public communal prennent fin le 5 décembre prochain, selon les textes réglementaires.

Récit/ Noïse infos. Com

LIRE CI-APRÈS LA VERSION ANGLAISE DE CET ARTICLE

Azizetic thought / Tensions at the Mont-Bouët market: Xenophobia, clan wars and political blackmail.

The market of Mont-bouet is currently experiencing tensions that do not exist between national traders and economic operators who have duly received from the mayor of Libreville, an authorization to temporarily occupy the municipal public space. Quarrels that look like xenophobia which, in the end, give the impression that the municipal authorities are responsible for what looks like a clan war and political blackmail which does not say its name, with regard to the the city’s first magistrate. However, Christine Mba Ndutume and her deputies see nothing illegal in this, especially since these expatriate operators are acting in accordance with an agreement signed by the municipal authorities.

Here is the story of the facts that make this affair worse…

Real slot machine that attracts all desires, often causing tensions between clans or communities.
Mont-Bouët, considered the largest market in the Commune of Libreville, has recently been the scene of trench clashes between rival economic operators – groups of local traders and expatriates.

indeed, a wind of escalation blows on the stalls of the traders of this large commercial space. Underpinned by certain black minions, who, to achieve their ends, shamelessly exploit the nationalist argument. when others go further, by defaming the Mayor of Libreville via social networks.

However, sources close to the case, what sets fire to the powder between these different actors would simply be the refusal by certain « refractory » traders to honor their commitments vis-à-vis economic operators who have legally benefited from an authorization temporaryto occupy the communal public space within Mont-Bouët.A document, specifies the General Directorate of Economic Affairs (DGAE) of the City of Libreville, which had been requested respectively by Sieur Boris on August 24, 2022, on behalf of the association of young Gabonese traders. and by Sieur Éric who would be of Nigerian origin, on September 13 of the same year, acting on behalf of the collective of sellers of the bus station.

These requests for temporary authorization to occupy the municipal public domain, it should be remembered, had previously been submitted to the Minister of State, Minister of the Interior for approval, by the Mayor of Libreville, before the signing of the decrees thus allowing them to practice legally. this, in order to comply with the will of the highest authorities of the State, who then launched the operation « Free the sidewalks, support the DGAE.

However, continues this technical direction, shortly after the start of their activities in the market, certain traders are reluctant to pay undue taxes to the operator Éric Ouwa, claiming that he would be an expatriate, and therefore not competent to carry out such collections. among nationalsexercising in the area assigned to him by the authorities – the law does not prohibit a third party from carrying out such activity, ensures the services of the Town Hall.
MONT-BOUËT: scene of settling political scores, in the pre-election period?

AUDIOS FROM THE FRIPPERIE, BLACKMAIL, BAD FAITH

Either by ignorance of the texts on the matter or either by a manifest will, driven by unacknowledged interests, certain « small malignant spirits », preferred to make in the intimidation or the political blackmail with the place of the city councilor.

Indeed, via social networks, they have shone lately by broadcasting and broadcasting videos and audios, directly indexing the Mayor of Libreville, as being the one who would be at the origin of this rush for the benefit non-nationals. and by this action would jeopardize the policy of the Head of State. Because it does not want to promote Gabonese economic operators.

Whereas, as we have previously indicated, the latter is neither at the origin nor at the center of this affair which borders on xenophobia and bad faith – it is not a secret of the alcove: at the Mont -Bouët, there is a fierce fight for juicy sites between economic operators, heads ofsectors and certain senior officials with interests therein.For the general supervisor of the Mont-Bouët Market Serge Engohang. What attracts the wrath of some traders, lies simply in the modus operandi used by the holders of these temporary authorizations.

Sometimes, when those who have to pay the taxes refuse to do so, he says, the operator is often forced to use strong force: assistance from the municipal police, who seal goods from those who are refractory – this which is not to please the latter, which isfeeling cornered prefer to indulge in political maneuvers – often during electoral periods, favorable to maintaining such an unhealthy climate.

In order to appease these useless tensions between clans and merchants, did the city councilor see himself obliged to invite the two parties yesterday Monday, November 21 to an information and clarification meeting, so that each, according to his level of responsibility acts in accordance with the regulations in force.

This meeting took place in the presence of the 1st, 4th and 5th Deputy Mayor of Libreville, the Secretary General of the municipal institution, as well as the principals concerned by these sources of tension within the Mont-Bouët market.

It should be noted that these authorizations for temporary occupation of the municipal public space expire on December 5, according to the regulatory texts.

Story/ Noïse info. Com

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