Pensée azizetique/ Cordon ombilical ajevien : Arsene Édouard Nkoghe, sous l’emprise du spectre de l’Ajev.

Comment serait Arsene Édouard Nkoghe aujourd’hui, si ses mentors et bailleurs de fonds d’hier ne séjournaient pas à la maison d’arrêt de Libreville communément appelée  » sans famille » ? Serait-il député actuellement ? Ministre des affaires ajeviennes ? Ministre en charge de la mobilisation et des détournements des deniers publics et de complicité de détournements ? Ministre de la clôture de la tournée du « Messager intime » à Nzeng-Ayong ? Ministre de la mobilisation de la vague bleue ? Des questions et des questions et toujours des questions que ne cessent de se poser les populations du 2e siège du 5e Arrondissement.

Arsène Édouard Nkoghe Nze, l’Ajevien, Membre du bureau politique du PDG au 5ème Arrondissement.

Rappelons au passage que ce dernier a été élu par défaut au second tour en dépit des moyens colossaux issus, dit-on, des finances controversées de ses mentors. D’autant plus qu’il a été incapable de remporter au 1er tour, les élections législatives face au candidat du Parti Démocratique gabonais et des Sociaux-démocrates.

N’ayant aucune assise politique dans le cinquième Arrondissement de la Commune de Libreville, notamment dans le deuxième siège de cette circonscription administrative, se serait-il fait élire au forcep au second tour des législatives de 2018 par la magie des derniers publics extirpés en bande organisée ? Une interrogation qui refait surface au regard du verdict des sessions criminelles de ses mentors de l’association des jeunes émergents volontaires sous la bannière du Rassemblement de la restauration des valeurs (Rv), qui, au finish, s’est constitué en groupe parlementaire à l’Assemblée nationale.

Celui que d’aucuns appelaient  » le candidat du Work « , durant son pseudo règne éphémère au gouvernement de Julien Nkoghe Bekale en qualité de ministre délégué, n’avait, dit-on, de cesse de briller par le mépris envers les jeunes de sa circonscription politique.

Du haut de son arrogance, en bon ajevien, d’aucuns disent n’avoir jamais vu l’ombre de ce type à lalala, poser des actions multiformes au profit des populations, ni avant, ni pendant la création de l’Ajev pilotée par l’ancien Directeur de cabinet du Président de la République, Brice Laccruche Alihanga.

À ce qui nous revient, l’ancien ministre délégué, devenu député aurait brillé par le trafic d’influence, l’injure facile, des menaces d’emprisonnement gratuit et sans fondement, lorsqu’il trônait au ministère de l’intérieur. Le cas par exemple du Secrétaire communale de la Commune de Ndzomoe, Ada Moussavou, habitant lalala à gauche, qui serait traumatisé jusqu’à ce jour, de ce qu’Arsene Édouard Nkoghe lui aurait infligé à son cabinet ministériel du temps de sa gloire illusoire.

Après les interpellations et les arrestations de ses parrains de l’Ajev, Arsene Nkoghe fût débarqué du gouvernement au grand bonheur des populations de lalala, qui ne se reconnaissaient pas en lui et à ses mentors d’hier. Nous rappelle l’un des habitants de cette circonscription.

En dépit de sa nomination au bureau politique le 9 mars dernier, il fait feu de tout bois, en vue de se faire une certaine virginité politique et un faux-semblant d’humilité. D’ailleurs, pour témoigner son hégocentrisme, ses collègues députés l’accuseraient à tort et à raison du fait qu’il s’opposait à ce que Tony Ondo Mba les dote des moyens roulants en le persuadant que les députés disposent des ressources conséquentes, et donc, il serait inutile de renforcer leurs acquis.

À cela s’ajoute, les coups de point que lui aurait infligé son suppléant du fait des écarts de langage dont il est coutumier des faits envers ses aînés.

Voilà un personnage qui, durant moins d’un an, au lieu d’apaiser les cris et les lamentations des populations du cinquième Arrondissement, a plutôt suscité au fond du cœur de ces derniers, le dégoût et l’impatience de voir leur député par défaut, sortir par la petite porte comme il est entré en politique.

À suivre

Azizetiquement vôtre !

Ali Akbar Azizet, Journaliste d’investigation politique, Conseiller politique indépendant, spécialiste du Gabon.

LIRE CI-APRÈS LA VERSION ANGLAISE DE CET ARTICLE.

Azizetic thought / Ajevian umbilical cord: Arsene Édouard Nkoghe, under the influence of the specter of Ajev.

What would Arsene Édouard Nkoghe be like today, if his mentors and donors of yesterday were not currently staying at the Libreville remand center commonly called « without family » ? Would he currently be a deputy ? Minister of Ajevian Affairs ? minister in charge of mobilizing and embezzling the  public finances and complicity in embezzlement ? Minister for the closing of the « Intimate Messenger » tour in Nzeng-Ayong ? Minister for the mobilization of the blue wave ? questions and questions and always questions that the populations of the 2nd seat of the 5th Arrondissement keep asking themselves.

Let us recall in passing that the latter was elected by default in the second round despite the colossal means resulting, it is said, from the controversial finances of his mentors. especially since he was unable to win the legislative elections against the candidate of the Gabonese Democratic Party and the Social Democrats.

Having no political base in the fifth Arrondissement of the Commune of Libreville, in particular in the second seat of this administrative district, would he have been elected by forcep in the second round of the legislative elections of 2018 by the magic of the last public extirpated in band organized ? a question that resurfaces in view of the verdict of the criminal sessions of his mentors from the association of young emerging volunteers under the banner of the Rassemblement de la restauration des Valeurs (Rv), which, at the end, formed a parliamentary group in The national assembly.

The one that some called « the Work candidate », during his pseudo-ephemeral reign in the government of Julien Nkoghe Bekale as deputy minister, had, it is said, never ceased to shine with contempt for the young people of his political constituency.

From the top of his arrogance, in good ajevien, some say they have never seen the shadow of this guy in lalala, take multifaceted actions for the benefit of the populations, neither before nor during the creation of the Ajev piloted by the former Chief of Staff to the President of the Republic, Brice Laccruche Alihanga.

To what comes back to us, the former deputy minister, who became a deputy, would have shone through influence peddling, easy insult, threats of gratuitous and baseless imprisonment, when he was enthroned at the Ministry of the Interior. the case for example of the Communal Secretary of the Commune of Ndzomoe, Ada Moussavou, living in Lalala on the left, who would be traumatized to this day, by what Arsene Édouard Nkoghe would have inflicted on him in his ministerial cabinet at the time of his illusory glory.

After the arrests and arrests of his godfathers of Ajev, Arsene Nkoghe was landed from the government to the delight of the populations of lalala, who did not recognize themselves in him and his mentors of yesterday. Reminds us of one of the inhabitants of this constituency.

Despite his appointment to the political office on March 9, he is firing on all cylinders, with a view to gaining a certain political virginity and a pretense of humility. moreover, to testify to his hegocentrism, his fellow deputies would rightly and wrongly accuse him of the fact that he was opposed to Tony Ondo Mba providing them with rolling means by persuading him that the deputies have substantial resources, and therefore, it would be useless to reinforce themacquired.

Added to this, the blows that his deputy would have inflicted on him because of the language discrepancies of which he is accustomed to facts towards his elders.

Here is a character who, for less than a year, instead of allaying the cries and lamentations of the populations of the fifth Arrondissement, rather aroused in the depths of their hearts, disgust and impatience to see their deputy by Failing that, exit through the small door as he came in Politics.

To be continued

Azizetically yours !

Ali Akbar Azizet, Political investigative journalist, Independent political adviser, specialist in Gabon