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Gabon / Urgent : Pardon ! Que la Cnamgs et le ministère de la santé évacuent la petite Sarah !

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La mère de la petite Bialley Kessany Sarah, passe des nuits cauchemardesques au quotidien, dues à l’atrocité de la douleur que subit sa fille victime d’une erreur médicale depuis sa naissance. Il s’agit d’une double fracture des membres supérieurs et un traumatisme cervico-brachial. Aujourd’hui, dans un état critique et alarmant, après plusieurs années douleur aiguë, la pauvre maman s’est battue corps et âme pour redonner du sourire à sa fille Sarah sans succès. Epuisée de ses forces, elle pleure dans son impuissance, implorant ainsi, le secours de la cnamgs et du ministère de la santé afin que son enfant soit évacué de toute urgence et prise en charge par l’État.

Le courrier que la mère de la petite Sarah a adressé au ministre de la santé il y a un an, sans succès…

« Je suis une gabonaise économiquement faible, à la naissance, ma fille a reçu une double fracture des membres supérieurs et un traumatisme cervico-brachial. Jusqu’à ce jour, je n’ai pas obtenu gain de cause, si ce n’est d’être chassé avec mon bb par le directeur de l’hôpital de Melen. J’ai dépensé toute ma fortune. J’ai emprunté de l’argent de gauche à droite pour sauver sa vie, mais aucun changement car, ces fractures sont toujours là » A souligné la mère de la petite Sarah, dans son un courrier adressé au ministre de la santé il y a un an.

Depuis l’enfance, Sarah souffre de cette erreur médicale…aujourd’hui, son état s’est empiré…

Il y a jour pour jour, pratiquement un an, que cette jeune mère gabonaise a sollicité l’aide du ministère de la santé à la faveur de sa fille Sarah Bialley, sans jamais avoir une suite à ses doléances. Que se passe-il ? Pourquoi tant d’indifférence de la part des autorités face à un cas social aussi interpellateur ? D’après la mère, autrefois, la cnamgs assurait la prise en charge de ce traumatisme cervico-brachial dont souffre Sarah depuis sa naissance, en procédant à son évacuation en Tunisie. Sauf que, l’assureur de santé publique qu’est la cnamgs, aurait démissionné de son engagement au terme de la première phase du suivi médical. Est-ce une question de moyens, ou de mauvaise foi ? Pourquoi l’Etat abandonne t-il un enfant qui se meurt à petit feu sous le regard turlupiné de sa maman ? Au nom de la solidarité nationale, il serait judicieux d’intervenir de toute urgence à l’endroit de la petite Bialley Kessany Sarah, pour lui permettre de trouver le sommeil et, vivre son enfance dans en bonne forme physique. Il faut agir maintenant ! Elle répond au 066 80 80 45.

Valéry M

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